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Maitre Laureen Spira – Avocat à la cour

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Janvier 2013, le Tribunal Correctionnel de Paris relaxait le prévenu de l'ensemble des faits qui lui étaient reprochés en raison de l'irrégularité de la mesure de garde à vue dont il faisait l'objet. En janvier 2013, le Tribunal correctionnel de Paris jugeait un prévenu pour des faits de : - Conduite sous l'empire d'un état alcoolique - Outrages à personne dépositaire de l'autorité publique - Et conduite d'un véhicule à une vitesse excessive eu égard aux circonstances. Le Cabinet soulevait la nullité de la procédure initiée à l'encontre de Mr V. en raison de nombreuses irrégularités procédurales et notamment sur le déroulement de la mesure

L'automobiliste ayant eu son permis de conduire français annulé ou invalidé faute de point, ne peut conduire sur le sol français avec un titre de conduite étranger.  Le principe est simple, même s'il ne fait pas l'unanimité, l'automobiliste ayant eu son permis de conduire français annulé ou invalidé faute de point, ne peut conduire sur le sol français avec un titre de conduite étranger. Les textes étaient déjà clairs mais la Cour de Cassation vient à nouveau de se prononcer sur la question, confirmant le principe de la souveraineté des Etats. En d'autres termes, ce que la France vous a retiré, seule

Le Cabinet commente un arrêt du Conseil d'Etat dans la revue du mois d'octobre 2012 de la jurisprudence automobile sur l'échange du permis de conduire étranger. Par un arrêt du 16 mai 2012, le Conseil d'Etat a jugé qu'il n'était pas lié par la liste des pays établie par le Ministre délégué aux transports, avec lesquels il existe une pratique d'échange réciproque des permis de conduire. Néanmoins, la portée de cet arrêt semble plus que limitée depuis l'arrêté du 12 janvier 2012. Pour un échange de titre de conduite étranger en titre français, il est désormais conseillé de se référer aux dispositions du

La Cour d'Appel de Caen a confirmé un jugement du Tribunal de Police de Lisieux et a relaxé un client du Cabinet poursuivi pour avoir roulé à une vitesse enregistrée de 237 km/h, et 225 retenu, pour une vitesse autorisée de 110 km/h. Un client du Cabinet était poursuivi devant le Tribunal de Police de Lisieux pour un grand excès de vitesse au mois de novembre 2010. En l'espèce 225km/h pour 110km/h autorisé. Maître Spira soulevait différents vices de procédure lors de l'audience et insistait sur l'impossibilité pour les gendarmes d'avoir pu retenir la vitesse du prévenu mais aussi celle d'une autre personne